jeudi 28 mai 2015

Rassemblement des voisins



Chez nous, la fête des voisins s’appelle la fête de l’été !
 
Alors, campugnanais et campugnanaises, on vous attend avec grand plaisir ! L’an dernier nous avions réuni 100 personnes. Pas mal pour une 1ère ! Alors n’hésitez pas à revenir cette année !

Chacun vient avec son pique-nique et c’est l’occasion de manger ensemble et de faire la fête sur la musique de FLASH MUSIC ANIMATION. Le tout, en plein air, avec le barbecue géant à votre disposition !




Nouveau blason de la commune



Que ce soit récemment, ou plus ancré dans leur histoire, beaucoup de communes ont adopté un blason, qui représente leur(s) symbole(s).
Aujourd’hui, une grande majorité des communes en a un. Pour Campugnan, il nous a été proposé la création gratuite de notre blason, par Monsieur Jean-François BINON.

Jean-François BINON, 56 ans, est agent des finances publiques. Originaire de l’Allier et installé aujourd’hui à Aix-en-Provence, il a la passion des blasons depuis une trentaine d’années.
L’art héraldique lui a été enseigné par un ami qui lui a appris les rudiments de cette science. Doté d’un logiciel spécialisé, il dessine aujourd’hui des blasons qu’il propose ensuite gracieusement aux communes qui n’en ont pas. En effet, de par son métier, il connait les finances des petites communes et l’intérêt superflu de payer pour obtenir un blason.
A ce jour, 420 communes ont adopté un blason dessiné par Jean-François BINON et cela représente pour lui une grande fierté.



Le léopard : Symbole de l’Aquitaine, De gueules au léopard d’or, armé et lampassé d’azur.
Le raisin, en tant que commune viticole.
Les clés, symbole de Saint-Pierre, saint patron de notre église.

Campagne de prévention contre le moustique tigre




S'informer sur le moustique tigre
Attention, tout ce qui vole n’est pas moustique, tout moustique n’est pas un moustique tigre.

Détectée en Italie dans les années 90, l’espèce est surveillée en France métropolitaine depuis les années 2000 avec pour principal outil de surveillance entomologique le piège pondoir. Ce piège constitué d’un seau noir contenant de l’eau (attractif) et d’un morceau de polystyrène flottant (support de ponte) permet de proposer un site de ponte attractif pour l’espèce. Un larvicide est également ajouté pour éviter toute production de moustiques. Cette surveillance est principalement mise en place dans les grandes agglomérations et le long des axes de communication car les œufs et adultes peuvent être déplacés passivement par l’homme.
 
Initialement, les zones surveillées étaient des sociétés importatrices de pneus usagés depuis des zones où Ae. albopictus était présent, ainsi que la frontière franco-italienne. Parallèlement à des introductions, détectées puis contrôlées, chez certains importateurs de pneus dans le nord de la France, l’implantation d’une population d’Ae albopictus a été mise en évidence dans le Sud-Est de la France en 2004 à Menton. La surveillance s’est ensuite amplifiée (13 pièges pondoirs en 2002, 2 600 pièges en 2012) et a permis de suivre sa progression. En 2014, l’espèce a colonisé la quasi-totalité des départements des Alpes-Maritimes, du Var, des Bouches-du-Rhône, de la Haute-Corse et de la Corse-du-Sud. L’espèce est également implantée dans quelques communes des Alpes-de-Haute-Provence, du Vaucluse, de l’Hérault du Gard, de l’Aude, des Pyrénées-Orientales, de la Haute-Garonne, du Lot-et-Garonne, de l’Ardèche, de la Drôme, de l’Isère et du Rhône. Des interceptions (identification de la présence et contrôle) sont également régulièrement réalisées à d’autres points du territoire.

 
Le moustique tigre est très facile à identifier grâce à ses rayures noires et blanches présentes sur le corps et sur les pattes qui lui donnent un aspect très contrasté. Il est également appelé Aedes albopictus et peut, dans certaines conditions bien particulières, transmettre la dengue ou le chikungunya.
C’est un moustique de petite taille (plus petite qu’une pièce d’un centime d’euro) ne dépassant pas 1 cm d’envergure.

COMMENT S'EN PROTEGER ?
Les bons gestes pour éviter la prolifération :
Aedes albopictus est adapté à l'environnement humain et se développe préférentiellement dans des environnements péri-urbains, ainsi que dans des zones urbaines très denses. Les gîtes larvaires originels d’Ae.albopictus étant de petits gîtes formés par des plantes retenant de l’eau (souche de bambou, broméliacées ou trous d’arbres), celui-ci a colonisé toutes sortes de récipients et réservoirs artificiels ainsi que d’éléments du bâti disponibles en milieu urbain (vases, pots, fûts, bidons, bondes, rigoles, avaloirs pluviaux, gouttières, terrasses sur plots…). Voici quelques conseils pour éviter la prolifération de cette espèce :
·         Coupelles sous les pots de fleurs, vases : videz-les régulièrement (au moins une fois par semaine) ou supprimez-lez
·         Seaux, matériel de jardin, récipients divers : videz-les puis retournez-les, ou mettez-les à l’abri de la pluie.
·         Bidons de récupération d’eau : recouvrez-les à l’aide d’un filet moustiquaire ou de tissu, en vous assurant que les moustiques ne pourront pas accéder à l’eau.
·         Bassin d’agrément : introduisez des poissons, qui mangeront les larves.